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 AHMED MASALI AL_HAJJ

Naissance et éducation

  Ahmed Masali Al-Hajj est né le 16 mai 1898, dans le quartier Raheiba de la ville de Telsan, la famille est simple.  Etude et formation

  Il a reçu une éducation religieuse dans le Zawyet al-Hajj Muhammad ibn Yellis de l'ordre de Dergawi à Tlemcen. Il a également étudié à l'École nationale française. Il a été appelé au service militaire obligatoire dans l'armée française en 1918. Membres des Amis de la Association du livre, apprenez l'art de la prise de parole en public et les règles de la discussion

  Chemin politique

  Il a participé à la fondation de nombreux partis politiques qui se sont battus pour l'indépendance de l'Algérie et est devenu connu comme la porte du mouvement national sourd à l'Association de la fraternité islamique et au Parti communiste, et en mars 1926, il a dirigé le North African Star Party et le 11 mars 1937, il a présidé le Parti populaire algérien après sa dissolution.Le Parti de l'étoile d'Afrique du Nord a disloqué le parti du colonialisme français, et a été emprisonné et confisqué ses propriétés à plusieurs reprises en raison de ses activités politiques s'opposant au refus de l'intégration de l'Algérie avec France. En octobre 1946, il a dirigé le Mouvement pour la victoire des libertés démocratiques. Le Parti populaire algérien secrètement et la création d'une organisation paramilitaire dont la tâche est de préparer la révolution armée doivent l'arrêter de la révolution algérienne. En dissolvant toutes les organisations politiques, et entre, il a dit qu'il soutenait la révolution à travers ce mouvement, qu'il a créé en décembre 1954 après la dissolution du Mouvement pour la victoire des libertés démocratiques le 5 novembre.  La même année, avec le début de la révolution, de nombreux jeunes Algériens se sont joints à elle, estimant que son chef était Masali Al-Hajj, et ils ne savaient que la révolution avait lieu sans lui jusqu'à des mois plus tard.  Sa fille, Genena Masali, dit dans son livre, Life Shared with Abu Masali Al-Hajj, "Mustafa bin Boulaid était la clause des révolutionnaires à Auras au nom de son père, comme il l'avait promis lors de la réunion de Beniurt avant le Conférence Horno en juillet 1954.

 Mort

 Il est resté en exil jusqu'à sa mort le 3 juin 1974 et a été enterré dans sa ville natale de Tlemcen